L’Europe occidentale
La construction européenne : objet abouti ?
Docs joints : la Déclaration Schuman du 6mai 1950 et document UE cf. : L’Europe, une géographie de Jacques Levy (géographe mêlant anthropologie et histoire)
En Europe existe un rapport entre un idéal social (entré dans les sociétés européennes) le territoire et le contexte historique très particulier. C’est une mise en relation différenciée qui va établir une construction européenne.
Est-ce un espace homogène ? Est-ce un espace d’intégration plus que de convergence ? Est-ce que cette construction européenne peut atteindre des limites ?
En effet l’UE a toujours été l’espace géopolitique le plus complexe au monde.
Problématique : L’UE a-t-elle encore un idéal qui soit capable de transcender les intérêts nationaux même les plus lointains.

I] L’Europe occidentale : paix possible, limite impossible A) L’idée d’Europe : un idéal de paix renouvelé
Le territoire est le support de l’action et le peuple crée celle-ci.
L’Europe est d’abord définis par les grecs, ils la qualifient de « territoire facilement prenable » et la localisent à l’Ouest de la mer Ionienne : perception militaire et géo locatif. L’Europe est un espace de domination, un espace de contact et de mobilité (invasions avec des temporalités très différentes). Par conséquent elle s’est construite en intégrant des parties de territoire et donc des peuples. Chaque peuple va créer des frontières (limite dans laquelle un peuple s’organise et fait respecter ses lois. La frontière prend très vite une valeur politique.
Il existe 3 types de frontière : limite territoriale -> distinction entre 2 royaumes donc la légitimité de la souveraineté d’un état. Limite économique -> notion qui apparaît au MA avec le renforcement des échanges commerciaux des réseaux des villes marchandes => limite qui ne coïncident pas avec l’espace politique. Limite religieuse -> délimitation de l’espace de chrétienté (ici les chrétientés), intégration du