Chapitre 1
Principaux auteurs :
Adam Smith, 1776, La richesse des nations
David Ricardo
Malthus
Jean-Baptiste Say
Le noyau dur de la théorie néoclassique se représente à travers un circuit, le circuit de l’économie classique.
La question centrale que se posent tous les classiques c’est : comment accroître la richesse des nations ? Comment accroître le produit national ? comment accroître la production ?
Eléments de réponses : l’accumulation du capital (le K chez les classiques c’est tout ce qui permet de produire) ce qui permet d’accroître le capital, c’est l’épargne. L’épargne est entièrement et directement transformé en capital. Les dépôts font les crédits.
L’épargne s’effectue en fonction des profits
Le plus important : Opposition avec Keynes et Marx.
Cercle vertueux
L’essentiel c’est bien l’existence de ce cercle vertueux.
Cette thèse est formulée par Smith.
Cette théorie est toujours présente dans les débats économiques d’aujourd’hui. Le profit d’aujourd’hui c’est l’investissement de demain et la croissance, donc l’emploi d’après-demain.
!!Attention pour les classiques, mettre libre concurrence, non pas CP, car ce terme appartient aux néoclassiques.
La plupart des classiques vont dire que malgré que ce cercle soit à priori sans fin, il y a certaines limites.
La cause de la crise chez les classiques c’est la baisse du taux de profit. C’est ce qui serait la crise du capitalisme.
Chapitre 1 : Richesse et division du travail
Section 1 : la réhabilitation de la richesse
Pendant des siècles et des siècles l’accumulation de la richesse était condamnée. Dans la Grèce antique, la richesse et son accumulation est condamnée.
Grâce au marché, grâce à la concurrence, chacun se spécialise là où il excelle.
Selon Aristote, en incitant à travailler on augmente le temps à consacrer à la vie spirituelle. Pour les grecs ce qui était important c’était la réflexion, de dialoguer. La grandeur de