Chapitre 3 : la rentrée et connaissance

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Désespérante sournoiserie !



Nicolas Sarkozy et François Hollande ont eu une réelle confrontation durant le débat, jeudi soir sur TF1.
Cet éditorial est à prendre sous forme humoristique.

Nicolas Sarkozy affirmait : « J’ai une preuve à vous donner de cet esprit de rassemblement qui m’a animé pendant 5 ans : c’est qu’il n’y a jamais eu de violences pendant les 5 ans de mon quinquennat, et y compris pour une réforme entrainement difficile : celle des retraites, il y a eu des manifestations, elle se sont passées dans le calme, personne ne s’est senti humilié, il n’y a pas eu de divisions » alors que les informations télévisées ont dit à plusieurs reprises qu’il y avait eu des nouveaux affrontements durant les manifestations, des nouveaux incidents entre manifestants et CRS et Brice Hortefeux avait rappelé qu’il y avait près de 1500 interpellations en 1 semaine et qu’il était prêt à faire intervenir l’inspection générale de la police nationale si nécessaire.

Nicolas affirmait ensuite : « Je crois que le président de la République est quelqu’un qui assume ses responsabilités, qu’il n’a pas le droit de dire qu’il ne veut pas, qu’il ne peut pas.. Qu’il aurait voulu mais qu’il n’a pas pu » alors qu’il avait dit quelques années auparavant devant des millions de téléspectateurs « S’agissant d’ailleurs du pouvoir d’achat qu’est-ce que vous attendez de moi? Que je vide des caisses qui sont déjà vides? Ou que je donne des ordres à des entreprises a qui je n’ai pas à donner d’ordres? »
Il a également affirmé : « L’austérité , je ne l’ai pas voulu en France » alors que le gouvernement français avait annoncé aux informations télévisées 11 milliards d’euros d’économies..
Nicolas a dit : « l’accord dans l’entreprise prime sur la loi et le contrat individuel, ça s’appel (s’adressant à François hollande) : Faire conscience » alors qu’un certain Alain Le Berre, CGT la poste (Finistère) avait annoncé aux infos qu’on parlait bien de « souffrance au travail, en

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