I. L’ouverture des économies nationale

1) Ouverture de l’économie sur l’extérieur :

Elle est mesurée par le taux d’ouverture = [(x + m) ÷ 2] ÷ PIB × 100
Ce taux dépend de la taille du pays il s’élève à près de 27% pour un pays comme la France contre 11% pour les EU et de 85% pour le Japon.

2) Les transactions courantes réalisées avec l’extérieur :

Tout d’abord, les échanges de biens, les importations sont enregistrées ; coûts, assurance et fret compris. Et les exportations sont enregistrées franco à bord.
Les échanges de services
Les échanges de revenu qui correspondent aux rémunérations des facteurs de productions nationaux (travail et capital) qui ont servie à l’étranger.
Les transferts courants, qui s’apparentent à des flux monétaires sans contrepartie (comme les envois de fonds des travailleurs immigrés vers leurs pays d’origines) pour la France on constate que les revenus et les services agissent positivement sur le solde des transactions courantes. Alors que les biens et les transferts courants agissent de manière négative.

Doc 1p44 :

1. Une économie ouverte sur l’extérieur, est dite ouverte lorsqu’elle échange des marchandises, mais aussi des services et des capitaux avec le reste du monde. On observe des exportations, des importations de marchandises entre cette économie et l’extérieur.

2. Le taux d’ouverture d’un pays est corrélé à sa taille. Un pays d’une grande dimension a plus de chance de connaitre une variété climatique, une variété de ressource en matière premières qui lui permette de produire sans avoir à s’approvisionner à l’extérieur. A l’inverse un petit pays est souvent contraint de se spécialiser dans un domaine et d’exporter une grande partie de sa production pour obtenir les devises lui permettant d’acheter des biens qu’il ne produit pas sur son territoire.

Doc 2p44 :

3. L’enregistrement FAB inclut les frais de transports et d’assurance jusqu’à la frontière du pays exportateur. L’enregistrement CAF inclut ses frais jusqu’à la