CHAPITRE 5
La morale assure la coexistence entre les individus mais surtout aide à la conduite de sa vie. Elle prend tout son sens lorsque je fais usage de ma liberté. En effet les actes bons ou mauvais que je pose me façonnent.
Partie I : La liberté
La liberté se trouver dans l’expérience du choix ou de l’absence de contrainte.
*Spinoza : L’homme n’est pas libre
Selon Spinoza, l’homme n’est pas libre mais déterminé. Il vit dans l’illusion de la liberté.
+ Selon lui, la chose libre agit par seule nécessité de sa nature. La liberté est donc l’expression de la nature d’une chose.
=> Métaphore de la pierre : de par sa nature de pierre, elle n’est pas en mouvement. Lorsqu’elle est en mouvement, elle a donc subi une impulsion. La nécessité n’est pas attachée à la pierre mais à son mouvement. Elle attribue ce dernier à son propre effort.
La liberté consiste dans une pris de conscience. Mais le passage de la connaissance non sue à la connaissance sue correspond à un progrès dans la vérité mais non dans la liberté.
On ene peut avoir l’expérience de la vraie liberté car nos choix relèvent toujours d’un désir supérieur par rapport à un autre désir.
*Descartes
+La liberté d’indifférence est le plus bas degré de liberté. Or l’indifférence est vue non comme une passivité mais come une capacité à trancher et à se déterminer de manière souveraine.
La liberté consiste dans une auto-détermination qui fait que la cause de mon acte est ma pure volonté et non le bien qui m’attire.
L’homme est libre car responsable de ses actes.
Partie II : Le devoir
*Kant : « Par devoir, conformément au devoir »
Différentes causalités peuvent conduire au même acte. Il discerne : -le devoir -l’inclination -l’intérêt
+ Le devoir. Nécessité d’agir par pur respect de la loi morale. La nécessité rend vaine l’idée de libre arbitre. On ne choisit pas son devoir mais on a la liberté d’agir. Le devoir ne doit avoir aucune finalité menée par le désir.