Charle de pu
Topic number 5 : ‘Le reproche majeur que l'on pourrait faire à cet exigeant divertissement tient à son déficit d'émotion’ (J.L. Douin on Un long dimanche de fiançailles, Le Monde, 26.10.2004).
Henry Bahmani Fard ( Hb256@kent.ac.uk)
FR310: Twentieth Century France in Crisis, Ms Poizat-Amar
School of European culture and languages, University of Kent.
11 Novembre 2010, 1550 mots.
Tous d’abord pour commencer je vais vous introduire à la problématique posé qui est la suivante : « Le reproche majeur que l'on pourrait faire à cet exigeant divertissement tient à son déficit d'émotion » tirée de la critique écrite par Jean Louis Douin, Le monde (26/10/04) sur le film Un long Dimanche de Fiançailles réalisé par Jean Pierre Jeunet en 2004. Je vais donc dans un premier temps voir en quoi cette critique de Jean Louis Douin peut sembler fondée et voir si elle est justifiée puis dans un second temps je vais analyser cette critique et voir pourquoi elle peut sembler inappropriée et pourquoi elle serait mal fondée.
Il est vrai qu’à travers ce film il s’en dégage une grande et belle histoire d’amour entre Mathilde (l’héroïne du film) et Manech, et bien sûr il y a aussi d’autres histoires d’amour dans ce film via d’autre personnage. Ces histoires d’amour devrait laisser penser que ce film va être très émotionnel car leur amour va survivre à la première guerre mondial mais lorsque l’on se plonge dans le film on constate vite qu’il y a trop d’intrigue, c’est-à-dire que durant tout le film on est plus préoccupé à se demander si Manech est en vie, à vouloir savoir comment les soldats, qui étaient condamné à mort, s’en sont sorti, et a essayer de relié toutes les scènes entres elles. A travers ce film on y ressent aussi un manque, ce film se déroule pendant la première guerre mondiale et ne fait que se servir de ce contexte pour amoindrir les spectateurs. Par exemple : « En cela, Un long dimanche de fiançailles n’est pas une nouvelle