Charles baudelaire
Baudelaire fait le constat que l’homme est enfoncé dans le mal. C’est le spleen. Avec « Spleen et idéal », il expose la contradiction de l’homme. La partie la plus longue est celle où il considère que l’amour est un moyen d’échapper au mal. C’est là que se trouvent les trois cycles féminins : Duval, Daubrun, Sabatier et puis après il y a des figures diverses. Il semble alors constater que l’amour est un échec. Après les poèmes d’amour vont triompher ceux du spleen. C’est la preuve d’amour vont triompher ceux du Spleen. C’est la preuve qu’il n’a pas plus échapper au spleen. Puis suit les tableaux parisiens qui sont en quelque sorte un remède. Il se rend compte que la fraternité humaine est illusoire. Après avoir tenté d’échapper à la solitude, il va écrire les vins, les paradis artificiels. Après cet énième échec, on entre dans la partie Les Fleurs du Mal avec des poèmes sur le vampirisme, l’homosexualité. Partie suivante, il essaye la révolte contre Dieu. Finalement, après tous ses échecs, il envisage la mort. En fait le seul moyen qu’il a trouvé pour s’évader est l’écriture pendant laquelle il vit des moments magiques.
Les poèmes du Spleen
Mot d’origine grecque signifiant « rate », « humeur noire », utilisé par les Anglais. Entré dans la langue française au milieu du XVIIIème siècle, ce mot désigne un certain vague à l’âme, une mélancolie, caractérisé par le dégoût de toute chose.
Le choix de ce mot est caractérisé par un certain exotisme (anglais). De plus, il est polysémique car il n’est pas français. De fait, il emploie également : « Mélancolie », « Guignon », « ennui », « tristesse », « désespoir ». La sonorité du mot avec une sonorité traînante est certainement une des raisons de son choix.
Il a écrit « à Madame Aupick » l’année où sont parues « Les Fleurs du Mal ». Au cours de cette lettre à sa mère, il se plaint de problèmes physiques (maux de ventre). Il a également été angoissé de ne plus pouvoir écrire. Ce qui