Cinema
La critique de revue de presse :
Revue = analytique
Magazine = portrait d'acteur
Les cahiers du cinéma, Studio, Première, MAD Movies,
Panorama de la critique de 1970 à 2005
Tournant dans la critique du Cinéma, beaucoup plus attractive, commercialisé en kiosque, plus accessible, les cinéclubs sont de moins en moins fréquenté, l'essor de la TV, du magnétoscope, alors que la production hexagonal est en plein essor
La critique doit s'habituer à cette évolution,
La revue de cinéma est celle qui succède à
Orientation politique de gauche, c'est à travers les cinéclubs que cette éducation à l'image se fait. En 1992, elle cesse et s'éteint en 1994. Elle recense les films indépendamment de leur origine peu importe leur origine.
Positif et les Cahiers du cinéma :
Positif
Les Cahiers du Cinéma vont avoir un peu plus de mal à s'adapter à ses évolutions. Mais ils ne renoncent pas à leurs éthiques.
Compromis à être attractif. L'adaptation passe par l'accueil. Pour Positif se rapport au fantastique,
Première et Studio :
Magazine généraliste sur beaucoup de portrait d'acteur. Beaucoup de cinéma américain, c'est le magazine de cinéma qui a le mieux marché. Le fonctionnement diffère, liberté de conception n'appartenant pas à des rédacteurs de presse, portrait des acteurs, évènementiel, consommation (gage de qualité).
Ces revues et magazines doivent s'adapter par rapport ses mutations sociologiques.
La cohabitation entre la revue cinématographique et la presse cinématographique a toujours existé. Exemple Télérama, volonté de référencé un maximum de film. Plus accessible, extrêmement accessible à n'importe quel lecteur, la critique commence donc à s'uniformiser.
Pour Télérama, magazine culturel souvent sous une tutelle moralisante.
Y-a-t-il une crise de la critique ?? Crise ou déclin ??
On pense le cinéma d'une autre façon, il faut que la critique s'adapte à cette évolution, il y a une reconfiguration de la critique.
La