Classicisme
Le mot « Classicisme » définie l’idée de l’idéal esthétique commun aux écrivains des années 1660-1680.Molière, La fontaine , Bossuet ,LA Rochefoucauld et la Bruyère partagent tous la même vision de l’art et de l’homme.
La naissance d’un Idéal : C’est au début de 17e siècle que cet idéal apparait, c’est un mélange des règles du beau fondées sur la lecture d’Aristote et sur les théories Italiennes et ,d’autre part le public étant plus cultivé s’intéresse aux questions littéraires ,morales, religieuses ce qui pousse les écrivains à rivalisé(ils veulent touché le publique ,plaire a tous)
La Floraison des chefs-d’œuvre : Molière ,Racine et Boileau doivent se battre pour imposer des œuvres qui sont souvent contestées par l’église. Il faut aussi résister aux écrivains officiels tel que Chapelain ,Quinault ,Perrault .c’est par la beauté de leurs œuvres qu’il montrent la valeur d’une littérature originale et rigoureuse.
Les derniers combats :Louis XIV soutiendra Molière contre les dévots ,puis Racine et Boileau .Ces derniers deviendrons les historiographes du roi. On dénoncera l’importance accordée à la tradition. Un nouvel état d’esprit s’affirme qui annonce le siècle suivant.
Plaire et Instruire :Pour les écrivains Classiques rien n’est pire que ce qui laisse froid. Mais cela est révélateur « il faut de l’agréable et du réel ,mais il faut que cet agréable soit lui-même pris du vrai ».
Rechercher le naturel : L’art classique se veut simple , clair naturel mais le naturel résulte d’un choix raisonné qui ne retient du réel que ce qui est à la fois crédible et exemplaire.
Respecter des règles :il faut certes respecter les règles de chaque genre car elles assurent la cohérence de l’œuvre d’art mais cela ne suffit pas : il faut encore un « je ne sais quoi » , le charme qui séduit , le sublime qui bouleverse.
Une société étouffante :La monarchie a remplacer les héros par les courtisans. La nouvelle cour multiplie intrigues ,jalousies,