Collier strike
1
Durant les cent ans, la princesse est délaissée, le château est ensevelis, enfouis sous la végétation et ceci est très bien mis en avant par Valery. En effet, dans le 1er quatrain, au vers num 2 on remarque une répétition « sous, sous ». Ces prépositions insistent sur le fait que quelque chose surpasse le château imaginé, entoure celui-ci mais au vers 3 on a aussi, « la mobile ombre » indique le manque de luminosité. Il y a alors apparition du champ lexical de l’obscurité : « ombre, obscure ». Tout ces caractère nous indique le type de lieu on l’on se trouve c'est-à-dire la situation spatial et ici, la végétation très affluente : « liane, forêt… ». Par ailleur, « les oiseaux perdus » et « les gouttes…chutes » sont des emphases qui renforcent l’idée du chao liée à la végétation sauvage. Le début du sonnet tend à insister sur l’absence de vitalité humaine. On peut remarquer que le champ lexical du sommeille est présent tel que « Dort, murmure, rendormie… ». Cela nous indique que la morosité du paysage. De plus la