En 1814, la France a connu un écoulement historique, du Premier-Empire. Ceci avait mené à la décadence de l'Empereur Napoléon 1er (Bonaparte), suite à plusieurs guerres, dont la bataille victorieuse d'Eylau, en 1807, où le Colonel Chabert avait participé. Honoré De Balzac avait alors publié, en 1844, Le Colonel Chabert dans La Comédie humaine. Chabert, le soldat, cru mort à la bataille d'Eylau, revient en France au début du nouveau régime, La Restauration, où tout avait changé.

Dans cet extrait analysé, la comtesse Ferraud avait parfaitement su comment manipuler les autres afin d’enrichir sa fortune, on peut donc le constater avec ce champ lexical : «avait deviné» (Ligne 1292), «surveillait adroitement» (Ligne 1293), «le manier» (Ligne 1293),

De plus, on remarque aussi que la comtesse a le gout pour l’argent. Elle cherche toujours à avoir beaucoup plus : «Il avait triplé les capitaux de sa protectrice, avec d'autant plus de facilité que tous les moyens avaient paru bons à la comtesse afin de rendre promptement sa fortune énorme.»(Ligne 1305-1307) Alors, avec son habileté et son intelligence, elle a pu capitaliser ses revenus.
Cependant, à la page 56, ligne 1313 on voit une métonymie : «soif d’or»

En second lieu, Delbecq veut utiliser Ferraud de façon à pouvoir, grâce à lui, devenir président d’un tribunal dans une grande ville : « il pourrait alors faire un bon mariage et «conquérir plus tard une haute position dans la carrière politique en devenant député ». Donc il est associé de tous les complots que la comtesse avait faits pour