Comentaire des souris
Jean-Baptiste Chassignet, Le Mépris de la vie et consolation contre la mort (1594)
Martial de Brives, Parnasse séraphique (1660)
D’Etelan (1604-1644)
Changement permanent La nature=fixe≠changement
Changement permanent La nature=fixe≠changement
Le Mépris de la vie et consolation contre la mort:
Eloge de l’eau qui change et qui n’est jamais la même
Parnasse séraphique:
Le vent change de sens mais reste le vent
3e poème:
Le miroir nous reflète tout le temps différemment
Une contradiction dans la définition la rencontre de deux termes opposés (beaucoup d’antithèse dans les poèmes)
Parallèle entre « eau, vent, miroir» et l’homme
L’homme change toujours comme les éléments mais l’homme meurt. Faiblesse de l’homme et la force de la nature soumis au changement, au temps
Epoque baroque=fin du XVI-milieu du XVII= découverte du nouveau monde. C’est aussi la période de l’humanisme qui se fini par les guerres de religion mais c’est aussi la période de la révolution de la penséele terre n’est pas plate et tourne autour du soleil
C’est heureux, beau; ça fait peur (instabilité, inconstance)
La littérature à toujours une «pensée» pour la religion (avec au moins une idée religieuse)
Vanitésnature mortes. Dans les sonnets on célèbre leur apparence mais on aura quelque chose qui fera pensée à la mort
Le Mépris de la vie et consolation contre la mort (analyse)
(1er quatrain) «Assied-toi» apostrophe du lecteur pour lui suggérer un spectacle
«Flot sur flot roulant en mille et mille tours»hyperbole (figure d’intensité, d’exagération). Vers 2 et 3= allitération en «r» et «l» consonnes pour imiter l’écoulement de l’eau. 4e vers=puissance de la rivière.
(2e quatrain) «Mais tu ne verras rien»opposition au deuxième vers «tu la verras» «et» du 3e vers marque une antithèse. Enjambement perpétuel sur les deux premiers quatrains. Souvent ce sont des antithèses qui passent par la césure. «Tous les