ES – technicien en analyses biomédicales « écrire l’expérience » travail de 5 à 10 pages. Evaluations formatives

L’écriture en formation. Comment mettre les auteurs au travail ?
CFC d’employés de commerce selon art. 32 – STA et UF 2 travaux de 20 pages. Evaluations certificatives BFFA modules 3, 4 et 5 5 travaux de 6 à 20 pages. Evaluations formatives et certificatives

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Ne wsletter r les activités Information su on continue de la formati du CPLN

Avril 2012 No5

Tic’actives, initiation à l’informatique Tenue quotidienne de sa chronique d’apprentissage.

L’écriture constitue aujourd’hui le premier facteur d’exclusion ou de promotion professionnelle. Elle est devenue fondamentale en tant qu’aptitude à recevoir ou transmettre des consignes en recourant à des supports et à des types de textes diversifiés. Elle fait exister. La parole sert à

réguler, négocier, ajuster, régler les dysfonctionnements éventuels, bref à affronter l’imprévu ; mais, partout, c’est l’écrit qui entérine, formalise. Il domine, se fait plus fluide, récupère l’interactivité, se renforce. Il assure notamment les relations avec toutes les fonctions que les

grandes entreprises ont choisi d’externaliser au cours des dernières décennies, à grand coups de sous-traitants, intérimaires, indépendants et autres prestataires. Il existe un enjeu démocratique de l’accès à l’écriture 1 .

Mireille Cifali et Alain André relèvent l’importance de l’écriture et trouvent les mots pour encourager apprenants et formateurs à poursuivre leurs efforts et/ou à se mettre à écrire. COMMENT PASSER DE LA SOUFFRANCE, SEUL FACE À LA PAGE BLANCHE, AU PLAISIR DE PERSÉVÉRER ? Souvent mus par la contrainte d’un délai, les adultes que nous accompagnons en formation, s’asseyent derrière leur ordinateur pour se mettre à écrire leur rapport ou leurs réflexions. La redoutable épreuve que constitue cet exercice nous incite à une grande attention. Alors que l’accompagnement de l’écriture se