En 1940, Albert Camus vient d’achever l’écriture de son romain, l’Etranger, prenant place dans la tétralogie « cycle de l’absurde ». Cette partie de son œuvre, comprenant Le Mythe de Sisyphe, Caligula et le Malentendu, représente sa réflexion sur l’aspect absurde qui définie la condition humaine et l’humanisme à atteindre lorsqu’on dépasse cette absurdité. Dans ce roman qui s’ajoute à cette idéologie, l'auteur cherche à nous faire appréhender la seule certitude humaine qu’est la mort. La Seconde Guerre Mondiale va développer aussi le sentiment d’absurde C’est le début du roman ainsi que le début de la réflexion de l’auteur, il va chercher à nous rendre sensible à cette absurdité et de ce fait à nous démontrer la nécessité de l’engagement « L’Etranger », plus précisément la scène « Le meutre de l’arabe » d’Albert Camus, met en scène Meursault, un jeune employer habitant à Alger, se promenant sur la plage avec son ami Raymond. Raymond se disputa avec un arabe rencontrer sur la plage et se retrouva blessé au visage. Meursault éprouve le besoin de marcher seul sur la plage, et c'est là qu'il retrouve l'arabe. Nous pouvons alors nous demander en quoi cet extrait définit-t-il la véritable identité psychologique de Meursault.
Nous analyserons d’abord cette entité prédominante que représente le Soleil dans le poème et qu’elle influence elle exerce sur le personnage de Meursault a travers la douleur qu’elle lui inflige et la force opposante qu’elle représente pour le narrateur.
Puis, pour conclure, nous étudierons le portrait psychologique de Meursault qui nous est exposé à travers le personnage absurde qu’il incarne, sa réaction à l’assasinat et la tragédie qu’il provoque.
Durant cet extrait, l’astre qu’est le soleil occupe une présence omniprésente.
La chaleur intense qu’il provoque chez le narrateur représente, avec les termes « «brûlure », « brûlante », « un souffle épais et ardent » et « pleuvoir du feu »,