Quand l’obscurantisme et le fanatisme règnent, diffuser la lumière devient un crime, mais il est nécessaire pour la progression sociale que des individus prennent l’initiative de combattre les idées obscurantistes de leurs sociétés. C’est le cas de Voltaire, qui décide de dénoncer avec sa plume les vices de sa société (la société française/européenne du XVIIIème siècle). C’est particulièrement le cas dans Candide, conte philosophique écrit par Voltaire en 1758 et publié anonymement, où l’auteur satire et critique sa société et la philosophie optimiste. Le texte commenter dans ce commentaire est un extrait du chapitre dix-neuf de ce conte, cet extrait raconte une rencontre qui regroupe Candide et Cacambo avec un esclave en Surinam. Il nous permettra d’observer comment Voltaire dénonce sa société, ses croyances –celles de la société pas celles de Voltaire - etc a travers la critique de l’esclavage. Cela sera achève en examinant d’abord comment Voltaire présenté ses personnages, puis comment il critique l’esclavage et sa société.

On remarque dés le début de l’extrait que Voltaire ne choisit pas les noms au hasard, Candide, par exemple, indique que le personnage en question est naïf, tandis que le nom du maître du nègre, M.Vanderdendur, non seulement indique que le personnage en question est cruel, mais aussi satire ce personnage en le donnant un nom avec une sonorité comique. Le nègre, de l’autre part, n’est même pas identifier par un nom, il n’est identifier que par sa race ethnique, cela peut avoir plusieurs signifiance, l’une d’eux est que Voltaire voulait présenter par le nègre la voix de tous les esclaves, et donc le transformer en un personnage type, une autre est que l’auteur voulait transmettre le message au lecteur que le nègre était considérer comme un animal qui n’a pas droit à un nom qui le rend différent du reste de sa race, ou dans ce contexte, le reste de son espèce.
Ainsi, Voltaire critique l’esclavage en mettent en accent la différence énorme