«Le dilemme de Charlemagne» Dans «Le dilemme de Charlemagne», on peut dire que le roi est respecté et adoré en se fiant à l'allure et au déroulement de cet extrait. Tout d'abord, on peut remarquer une exagération qui démontre que beaucoup de gens respectent le roi et son autorité en l'honorant par leur présence. En effet, l'énumération des ces gens présents, qui se situe au tout début de l'extrait, inclus de nombreux personnages importants (ducs, Geoffroy d'Anjou, Roland, des chevaliers...) et aussi 15 000 hommes. La présence de tout ces gens nous montre que le roi est puissant et respecté de ces gens qui sont présents pour lui. Dans ce cas-ci le symbole de l'autorité royale est fort. Ensuite, les objets mis en place pour le grand Charlemagne nous prouvent aussi son importance, sa richesse et sa grandeur. Alors qu'il est entouré de tous ces gens, on réserve au roi un siège à la hauteur de son personnage: «Au pied d'un pin, tout à côté d'un églantier, on a placé un trône entièrement en or pur. C'est là que siège le roi qui gouverne la douce France.» Évidemment, le trône, qui est en or, nous est montré ici comme un symbole de grandeur et de pouvoir (richesse). Les deux arbres (pin et églantier), emblèmes d’une vigueur permanente et de la vie qui continu, nous sont présentés pour évoquer la pérennité du pouvoir royal et démontrer sa force. En d'autres mots, l'image de Charlemagne sur son trône en or et sous l'églantier et le pin veut nous montrer la supériorité du personnage et renforcer l'image du roi, puisque les arbres symbolisent la force et la puissance et le trône, la richesse et le pouvoir. La figure de l'autorité royale est également valorisée par la personnalité et par la prestance de l'empereur dans «Le dilemme de Charlemagne». Pour commencer, il est décrit comme un personnage ayant «la barbe blanche et les cheveux tout blancs». On peut voir ici que l'auteur décrit Charlemagne comme cela, car c'est considéré, à cette époque, comme un symbole de