Commentaire composé.

Stendhal est un écrivain du 19ème siècle. Il a écrit La Chartreuse de Parme en 1839. Ce roman raconte l'histoire de Fabrice un jeune homme italien. Dans cet extrait Fabrice est présent lors de la bataille de Waterloo qui oppose les troupes napoléonienne aux Prussiens et aux Britaniques qui ont remporté la bataille. Comment le récit d'une bataille légendaire devient-il une dénonciation de la guerre ? Tout d'abord nous verrons comment Stendhal nous évoque les horreurs de la guerre, ensuite nous montrerons que Fabrice est tout le contraire d'un héro puis nous découvrirons qu'il est un personnage jugé.

En premier lieu Stendhal nous fait découvrir les horreurs de la guerre. Pour ce faire, l'auteur parle tout d'abord d'un paysage ravagé en utilisant la répétition du mot labouré "une grande pièce de terre labourée" (l.3-4), "une terre labourée" (l.28), "sur la terre labourée" (l.34), il nous le fait voir aussi dans la ligne 38 "qui faisaient voler la terre". il évoque ensuite une mort omniprésente et affreuse pour cela l'auteur montre à plusieurs reprises qu'il y a beaucoup de morts "jonché de cadavres" (l.4), "tous les cadavres" (l.6), "beaucoup de ces malheureux" (l.8). De plus il évoque énormément de souffrance en nous présentant des soldats en détresse "demander du secours" (l.9), "ils criaient" (l.8) puis en faisant un gros plan sur un cheval "un cheval tout sanglant qui se débattait" (l.33-34), "en engageant ses pieds dans ses propres entrailles" (l.34-35) ce passage en plus de nous évoquer de la souffrance nous évoque un sentiment de dégoût. Pour finir Stendhal nous révèle que l'horreur de cette guerre entraine une deshummanisation. Les soldats sont sans pitié "joie" (l.5), ils sont cruels "demander du secours, et personne ne s'arrêtait pour leur en donner." (l.9). De plus l'auteur nous montre cette déshummanisation par une mort instantanée et efficace de deux hussards "cri sec" (l.31), "deux hussards qui tombaient atteints par