Commentaire composée : les fourberies de scapin, acte iii scène 2
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un auteur dramaturge français du XVIIe siècle, qui à fixé le modèle de la comédie classique, et incarne l'auteur classique par exellence. Ces oeuvres en sont la preuve, et nombreuses, tel que « Dom Juan », « Les Femmes savantes », « l'Avare », ou encore « le Malade imaginaire ». Il se distingue des autres par sa qualité d'écriture, de ses oeuvres admirables, et de son talent de representation.
Dans son oeuvre intitulé « les Fourberies de Scapin », celui-ci va calquer la comédie italienne, mais cette pièce n'aura pas eu un franc succès du public. Dans cet extrait que nous allons étudier, Scapin fais croire à son maitre, Géronte, qu'un prétendant poursuivant les recherche, y compris le maitre de Scapin. Grâce à cette ruse, celui-ci va pourvoir imiter le prétendu poursuivant, et ainsi frapper sur le sac, où s'est dissimuler son maître. Il s'agira ici donc d'étudier le comique de cette scène.
En quoi le comique de cette scène, qui est centré sur la vengance de Scapin, nous prête à rire ?
Nous allons voir dans un premier temps le comique effectué par Scapin, personnage qui se prête au rire, et dans une seconde partie le comique de scène du à la relation maître/valet.
Comédie en trois actes et en prose de Molière, pseudonyme de Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673), Les Fourberies de Scapin fut créé à Paris au théâtre du Palais-Royal le 24 mai 1671, et publié à Paris la même année.Avec les Fourberies, Molière a voulu — écrit R. Jasinski — «rallier les amateurs de gaieté quand prédominaient les spectacles tragiques». Cette intention, si différente de celle qui lui fait donner la même année la tragédie-ballet de Psyché, est attestée sous forme de reproche dans des vers célèbres de Boileau, au IIIe chant de son Art poétique: Molière eût pu prétendre au titre de prince des poètes comiques s’il n’eût «quitté, pour le bouffon, l’agréable et le fin, / Et sans