Commentaire de l'enterrement de paul verlaine
Paul Verlaine poète du XXème siècle écrit « l’enterrement » sonnet appartenant aux poèmes saturniens. Ce poème présente une cérémonie d’un enterrement avec des caractéristiques plutôt joyeuses et gaies.
Nous nous demandons quelle est la vision de Verlaine sur l’enterrement et comment fait-il pour le critiqué.
Nous verrons comment Verlaine présente une scène de comédie, qui se révèle être un discours paradoxal avant de finir par être une satire provocante.
Dans une première partie nous allons voir que Verlaine présente une scène de comédie. Tous d’abords cette scène relève de l’allégresse par son champs lexical de la gaité « gai, chante, charmant, cœur élargis, gloire, resplendissants, heureux, drille». Mais aussi par la sensation de bien-être qui est mis en évidence par le champ lexicale des sensations « brille, trille, bien chaud, beaux, douillettement, fraiche» Cette scène est également légère, on le remarque à sa structure simple, il décrit au fur à mesure ce qu’il voit et il n’y a pas de difficulté à comprendre. La légèreté est aussi renforcée par le ton enfantin utilisé tout au long du sonnet. De plus le poème met en scène des personnages joyeux. Par exemple le fossoyeur qui chante, le prêtre priant gaiement, l’enfant de cœurs possédant une voix fraiche, le défunt heureux, les croque-morts au nez rougis et les héritiers resplendissants. On remarque bien que tout le monde est présenté comme heureux et joyeux.
Tous ces personnages sont usuellement présents dans les enterrements, mais habituellement ils ne sont pas représentés étant joyeux mais plutôt triste ou lugubre et funeste.
II- Une poème paradoxale
1) le détournement de l’enterrement
2) Le détournement du sacré
3) Les héritier deviennent des saints
III- La satire provocante
1) La satire de l’Eglise
2) La dénonciation de l’hypocrisie
3) la dénonciation de la prééminence de l’argent
En conclusion, Verlaine