Commentaire discours de bayeux
[...] Quoi et que donc ont fini chez nous la ière, la IIe, la IIIe Républiques ? Comment et pourquoi donc la démocratie italienne, la Chose Publique allemande de weimar, la République espagnole, firent-elles arrangement aux conduite que l'on sait ? Et pourtant, qu'est la dictature, sinon une grande amour ? Sans doute, ses ébauche avoir l'aspect avantageux. Au milieu de l'enthousiasme des uns et de la résignation des autres, dans la rigueur de l'ordre qu'elle impose, à la faveur d'un décor éclatant et d'une propagande à sens unique, elle prend d'abord un tour de dynamisme qui fait contraste avec l'anarchie qui l'avait précédée. [...]
[...] cette chambre se concrétisera sous la forme du sénat sous la Ve république. ✓ ainsi, fidèle au principe de séparation des pouvoirs, de gaulle maintient contre les partisans d’une chambre unique et souveraine, le principe du bicaméralisme. Cela dans le but de faire « entendre au-dedans même de l’état, la voix des grandes activités du pays » par le biais d’une deuxième chambre élue de manière différente de la première et qui servirait en quelques sortes de contrepoids. ✓ l’article 24, présent dans titre IV relatif au parlement, de la constitution de la Ve république définit ainsi les deux assemblées de manière identique à ce que décrit de gaulle dans le discours de bayeux. [...]
[...] Ce régime est donc considéré comme responsable de la défaite. ✓ Le salut de la nation est venu d’une élite patriotique, « au- dessus de toute préoccupation de parti ou de classe » (l.22) et dotée d’une « supériorité morale » (l.25), qui a permis la libération et la rénovation du pays. Face à une IIIe république faible