Commentaire du Texte 22
L'assommoir est l'une des 3 ou 4 œuvres les plus connus et les plus lus de l'écrivain Émile Zola, chef de file du naturalisme. C'est une œuvre qui a traine derrière elle un parfum de scandale et qui surtout a été très controverse. Le passage se situe au moment ou les coupeau viennent de s'installer sous les toits dans le trou le plus sal. Ils ont laisse a virginie leur belle boutique. Ce passage vient après un dernier événement joyeux de leur vie de famille : la communion de nana qu'ils ont fête avec leurs anciens amis. Ensuite ils tombent dans une grande misère. Nous verrons comment Zola cherche à faire sentir a ces lecteurs bourgeois l'effroyable pression de la misère. Nous verrons comment Zola dresse un portait très réaliste de la misère a travers une série de petites scènes de la vie quotidienne. Notre étude s'articulera autour de deux axes : dans un premier temps nous analyserons la misère pathétique et dans un second la mise en scène concrète
I) une misère pathétique
Le texte évoque tout les degrés de souffrances imposés par la misère. Tout ceci est fait dans une sorte de crescendo puisque le porte malheur est suivi d'un autre toujours plus grand que le précédent. C'est cette sûre en chair qui installe la dramatisation des faits
A) la composition de ce crescendo pathétique En effet le texte progresse toujours en suivant un crescendo rendu par les adverbes l2 "de plus en plus" toujours l2 "surtout" l14 "par dessus tout" l17 "davantage" ces adverbes délimitent les différents épisodes de misère ainsi le texte commencé après l'évocation des deux années noires l1-2 "deux année s'écoulèrent pendant lesquelles ils s'enfoncèrent de plus en plus" les saison sont en parfaite adéquation avec l'état d'esprit des ouvriers au cœur de l'ouvrir le pire mois est sans aucun doute celui qui est qualifié a la ligne 5-6 de "gredin de décembre" ce mois est du reste personnifie puisqu'il s'invite chez eux en traître l4 "par dessous la porte" apportant l7