Commentaire la bête humaine zola
Bio : Emile Zola est un écrivain français, né en 1840 et mort en 1902. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. La Bête humaine en est le 17ème volume. Germinal est le plus connu de la série.
Contexte : Voir chapeau
Registres : Pathétique lyrique
I Un combat intérieur contre lui-même.
- Discours indirect libre : le lecteur a accès aux sentiments, aux pensées de Jacques, à son conflit intérieur.
- Nombreux « ! », « ? » : malaise à l’état brut. Non compréhension
- Souffrance physique. Cf. lexique
- Expression de la folie : voc
Cette folie n’est pas une simple perte de contact avec la réalité, Jacques est aussi aux prises avec le retour à la réalité suite à ses pulsions. : « Sanglots convulsifs »
II L’expression bestiale de ses pulsions.
- Eveil d’un désir, celui de la chair.
- Sauvagerie dans ses pulsions. Champ lexical de la sauvagerie
- « bête enragée » : liaison avec le titre. Métaphore du loup qui connote le prédateur.
-Séparation entre le Jacques normal et celui qui a des pulsions meurtrières incontrôlables
Jacques subit une perte de contrôle de lui-même et bascule dans un rôle effroyable de mangeur de femmes. Une seule explication : ses origines Macquart.
III L’atavisme de la famille Macquart
- Atavisme est rappelé par l’état pathologique : « mal »
- Personnage en prise avec une maladie : « fêlure originale »
- Généalogie d’une famille empoisonnée : « sang gâté » : « La famille n’était guère