Les animaux dénaturés est l’œuvre de Vercors de son vrai nom Jean Bruller, qu’il écrit après la seconde guerre mondiale. Le récit de ce simple dessinateur humoriste nous fait part d’une question rarement abordé, qui d’ailleurs nécessite un débat acharné. Son but, nous faire réfléchir sur le fait que l’espèce humaine est difficilement définissable. Le passage étudié évoque la découverte d’un nouvel être vivant, le tropis qui va faire l’objet d’une polémique au propos de l’espèce dans laquelle le situé. Nous répondrons donc à la problématique suivante ; Comment une même découverte peut traduire deux opinions différents ? En découle un plan avec une première partie s’intitulant « Un découverte surprenante » puis « la discorde au seins du groupe ».

L’analyse du squelette l.2 révèle que c’est un Quadrumane, le faite que ce soit un quadrumane est un élément important sur la nature de l’être vivant en question il a donc quatres membres se terminant par des mains. A partir de cela suit une description visuelle de ce qui est observé, le champs lexical de la découverte est très présent : explorer l.15, trouva l.17, constater l.23, découvrit l.25. A la ligne 7, la description de l’homme de Neanderthal nous informe sur ce qui à présent reste la frontière entre l’homme et le singe. En analysant la descriptions, les noms et adjectifs utilisés on remarque que l’homme de Neandertal à été classé dans l’espèce humaine alors que c’est un être mal proportionné avec un petit crâne et légèrement courber, ressemblant donc à un singe.
Lorsqu’on s’attarde sur leur habitat qui d’ailleurs est une grotte cité ligne. 16. Le groupe découvre de nouveaux éléments tels que des traces de feu ligne 17 qui signifierais que les tropis auraient découvert l’existence du feu et la manière d’en créer. Des « coup de points » qui sont des armes fabriqué par leurs soins sont la confirmation qu’ils ont la capacité de créer. « Toutefois les parois étaient vierges » ligne.19 Les tropis ne sont donc pas