COMMENTAIRE :

Introduction : Guy de Maupassant est un romancier réaliste né le 5 août 1850 à Fécamp en Normandie et mort à Paris le 6 Juillet 1893. En 1888, il écrit son quatrième roman : Pierre et Jean, composé de 9 chapitres. Une œuvre traitant en particulier la concurrence entre deux frères différent.
Ce commentaire porte sur l'incipit, c'est à dire le début de l’œuvre.
En quoi l'incipit est elle donc dynamique ?
Afin de répondre à cette problématique, nous allons tout d'abord étudiés dans un première axe, le cœur d'une scène romanesque, ensuite tout ce qui est liés aux personnages puis le récit et le dialogue de l'incipit.

I-1 : sur la feuille.

I-2 : (voir feuille)

I-3 : Les principaux temps verbaux de l'incipit sont le passé simple qui nous donne l'effet que l'action est au premier plan « s'écria » (l.1), « se réveilla » (l.6), et l'imparfait « demeurait immobile » (l .6) qui donne plutôt l'aspect de décor. Cette opposition entre l'imparfait et le passé simple nous montre que nous somme dans un récit et que l'action a ainsi démarré.

II-1: En effet le roman débute par l'intervention d'un personnages secondaire qui crée un effet de surprise. M.Roland, personnage bourru et impulsif et à l'origine de cette effet de surprise « Zut ! » (l.1). En plus d’être bourru et impulsif c'est notamment un personnage misogyne à la limite de la grossièreté « furieux » (l.9), « les femmes vous font embarquer toujours trop tard » (l.12)
Étant donné qu'il est impulsif, il ne se contrôle pas et dit tout de suite ce qu'il pense maladroitement.
Il ne sait pas communiquer « M.Roland fut confus et s'excusa » (l.17). L'impulsivité de M.Roland est atténué par sa femme, Mme Roland qui parle au discours direct «Eh bien !...eh bien !... Gérôme ! » (l.8). Mme Roland est une femme rêveuse « regardait d'un air attendri le large horizon de falaises et de mer » (l.21-22). Un autre personnage ne faisant pas parti de la famille mais qui a été invité est sur le bateau « invité à cette