Commentaire : une allée de luxembourg
Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, est né à Paris le 22 Mai 1808 et mort le 26 Janvier 1895. Poète français de renom du XIX siècle. La date de première publication correspond à l’époque du mouvement littéraire et artistique romantique. Il s'inscrivit aussi dans de nombreux genres tels que les romans et les contes, mais il écrivit également de nombreux poèmes tels que « Le Peuple » et surtout « Les Odelettes » en 1834 dans lequel se trouvaient de beaux poèmes comme « Une Allée du Luxembourg » que l’on va d'ailleurs analyser. Le titre fais allusion au parc du Luxembourg, à Paris, qui est doter de plusieurs allée, sentiers, jardins et donc il parlerait d’une de ses allées, ou il se serais passé un évènement. Dans un premier temps nous parlerons de la jeunesse et de l’amour, dans un second temps nous allons voir comment le poète met en avant le temps qui passe, sa fuite ce qui nous amènera dans un dernier temps aux regrets de l’auteur sur le temps et de l’amour. Dans ce poème, « Une allée de Luxembourg » nous pouvons constater la présence de la 1ère personne et donc on peut parler de registre lyrique, de plus la musicalité de ce poème est importante, nous pouvons voir que ce poème est composé de rimes alternés et de quatrain. Il utilise plusieurs figures de styles. Dans le premier vers, Nerval parle d’une jeune fille qui ai passé. Nous ne savons pas son âge, même par l’emploi du mot jeune, elle peut être adolescente comment enfant. Dans le vers 2, il dis d’elle qu’elle est vive et preste, sensation de vitesse, de plus il continue sont vers par une comparaison « […] comme un oiseau » Il la compare à un oiseau, car il est rapide, vif mais il peut très bien être aussi beau, il veut peut-être faire le rapprochement de la beauté de la fille à celle d’un oiseau, on ne s’est pas de qu’elle sorte oiseau il parle, il pourrais parler d’un flamant rose d’une beauté pure tout comme la jeune fille qu’il