Commentaire l'assmoir
Zola dramatise sa description de cette maison glauque en s’appuyant sur de nombreuse techniques et figures de style. Il commence par qualifier les façades de la maison sous le ciel de la lune. Il l’est décrit grise « comme nettoyé de leur lèpre », comme si elle avait été toutes déformé comme un peau de lépreux et que maintenant elle était redevenu lisse et sobre. Gervaise y voit des sombres fenêtres fermées, comme si nulle forme d’existence n’y habitait ; confirmé par les loques qui sèchent sous le soleil brulant du jour. Malgré la plupart des fenêtres fermée, elle en apercevait quelques-unes vivement allumés qui « cligné des yeux » comme si elles voulaient mettre en valeur la pièce dans lesquels les fenêtres étaient situées. Les rayons de lumières qui illustraient les vestibules de chaque étage sont mis en valeur comme pour dire qu’elles étaient les plus belle pièce car la lumière les mettait en valeur alors que dans une maison le vestibule n’est jamais considéré comme la pièce la plus importante. Il parle ensuite de la cour que l’on voit a peine car elle est perdue dans l’obscurité et les ténèbres qui dramatise la mocheté des ateliers du rez de chausser en les noyant complètement comme pour les cacher. Dans tout ce silence on pouvait que entendre des gouttes d’eau qui tombait d’un robinet d’une fontaine mal fermé utilisé pour glacer l’atmosphère de la situation. Pour aggraver toutes la situation Zola souligne le fait que Gervaise du sauter par dessus une grand mare qui avait coulé de la teinturerie.
Selon mon opinion subjective, cette maison qualifiée par Zola écrasante et glaciale, est décrite avec autant d’attention car elle peut jouer un rôle important dans l’histoire.
Les façades grise et pale donnait une allusion de grandeur. Elle me font penser a une grande maison vide et glauque dans une rue perdu