Commentairedetexte1
Talib
Introduction :
Selon Freud, les actes manqués, les lapsus, qui ont une apparence non intentionnels et qui peuvent apparaître comme déterminés par une instance qui échappe à la conscience et qui se manifeste sous la forme de pulsion, nous force de déduire l'existence d'autre instance que la conscience dans le psychisme. Seulement nous ne savons presque rien de cette instance. Pour en savoir plus à ce sujet, Sigmund Freud se demande : les pulsions, qu'il qualifie de tendances, parviennent-elles toutes à la conscience ou existe-t'il un phénomène capable de les retenir ?
Il répond que les pulsions sont à la base, toute issue de cette instance qui échappe à la conscience et qu'un phénomène est bien capable de les retenir. Il argumente sa thèse tout d'abord en comparant le psychisme à des salles, à ces salles il substitut les différentes instances du psychisme de la première topique de la psychanalyse. Freud admet ensuite que le phénomène capable de retenir les pulsions joue le rôle de gardien, il appelle cela la censure. Il soumet ensuite que la conscience a une instance qui lui échappe dont le contenu lui est obscur. L'auteur critique ensuite, les quelques pulsions ayant franchis la censure. Cela va permettre pour lui de proposer qu'il existe une autre instance située avant la conscience et après la censure. Pour conclure, il affirme que c'est cette censure qui va rendre difficile la cure en psychanalyse.
Ainsi, l'existence de l'instance qui échappe à la conscience et de la censure va poser le problème de la connaissance de soi de l'Homme et de sa liberté.
« Nous », définit ici, l'ensemble des psychanalystes qui on exposer la thèse de l'inconscient psychiques, plus précisément Freud et ses disciples. « Assimilons », c'est-à-dire, considérer, « le système de l'inconscient à une antichambre ». Cela veut dire que l'inconscient est vaste et est seulement une sorte de