Comparaison et différences entre athène et rome
I. L’art du récit
1) un récit complet et traditionnel a) les indices du récit alternance traditionnelle de tps du passé pr le récit : imparfait (« était », « avait », « ressemblait » l.1, « voyait », « étaient », « pouvait » l.2…) très présent au déb du conte, notamment ds le 1er §, pr mettre en place les actions de 2d plan, le décor, les descriptions sommaires ; passé simple (« vint » l.7, « pria » l.8, « dit » l.9, « puisa », « présenta » l.10…) évoquant les actions de 1er plan qui lancent l’intrigue avec l’élé perturbateur et les péripéties. présence de nbreuses actions avec une évolution entre le déb et la fin : au déb, une famille cposée d’une mère et de 2 filles (l.1 : simplicité de la construction de la phr renvoyant à des liens familiaux simples et évidents) tandis qu’à la fin l’une des filles meurt (2 dernières lignes du récit sont consacrées à son destin : « pr sa sœur » l.46 indique que la fin du conte va s’attacher à elle), la cadette devient une princesse (« il l’épousa » l.45 correspond à la dernière info que l’on a sur elle), la mère reste seule après avoir chassé l’aînée (l.46). connecteurs tporels structurent l’hist et ses différentes étapes : « un jr » (l.7), « lorsque » (l.16). b) le schéma narratif
l.1 à 7 : situation initiale débutant par l’expression « il était une fois » ; on ne sait pas exactement depuis cbien de tps la cadette est exploitée par sa mère.
l.7 à 8 : élé perturbateur marqué par la rencontre avec la « pauvre fê » lui demandant à boire et annoncé par « un jr » : les péripéties suivantes seront une suite de csqces à cet élé perturbateur.
l.9 à 21 : 1ère péripétie concernant la cadette : ▪ l. 9 à 11 : acceptation de la cadette et cplaisance pr rendre service ▪ l. 11 à 15 : le don fait par la fée ▪ l. 16 à 21 : explication avec la mère.
l.22 à 39 : 2ème péripétie concernant l’aînée : ▪ l.22 à 27 : la fille aînée