Compte rendu des trois premières partie du livre, L’homosexualité dans l’imaginaire de la Renaissance, de Guy Poirier
L’homosexualité dans l’imaginaire de la Renaissance, de Guy Poirier
par : Samuel Boisvert (7927979)
MUS2731 Moyen Âge et Renaissance
Professeure : Madame Pascale Duhamel
Université d’Ottawa
Le 28 Novembre 2014
Guy Poirier, L’homosexualité dans l’imaginaire de la Renaissance, Paris, 1996.
(3 premières parties)
Guy Poirier présente dans cet ouvrage la mentalité commune concernant l’homosexualité lors de la Renaissance. Simplement, il existe une différence banale entre les deux idéologies, l’homosexualité en question et l’imaginaire de la Renaissance. Pour comprendre ceux-là, en quelque sorte, l’auteur demande au lecteur d’oublier leurs idéaux médiocres et de s’ouvrir à la possibilité d’une différente perspective par rapport à ce qu’ils croient — l’imaginaire du XIIIe siècle. Guy Poirier remet en question quelques actes magistraux qui aurait pu être mit en scène par ce qu’il explique être un masque romantique, voir, un acte sexuel de nature gaie qui en soie n’est pas un signe de faiblesse, mais un acte de dominance. Tout idée et acte qui peut être recycler ou justifier ne sont pas considérer comme étant mauvaise, d’après l’imaginaire de la renaissance. Poirier s’attarde à identifier quelques modèles minables de pédérastie ( « attirance sexuelle d’un homme pour les jeunes garçons » — L’internaute; dictionnaire en ligne de la langue française ), d’homosexualité et d’actes contre nature qui permettent par la suite de saisir de façon plus juste les images empruntées par les auteurs de la Renaissance aux Anciens, celles des ancêtres. Le «beau vice» de la pédérastie ce limite au nobles et ces pratiques pédophilliques sont souvent tolérées chez les aristocrates de la Renaissance. Les jeunes garçons sont utilisés comme objet sexuel et doivent se laisser faire. Comme jeune homme de la renaissance, enfant d’esclave, le mignon peut être un objet de plaisir, mais ne peut s’imaginer comme un tel sans perdre son