Concile d'orléans 549
En premier lieu, le rôle de l'évêque est très important, en effet, il doit non seulement être en charge des âmes, mais il assure aussi un gouvernement presque entier de l'ode ecclésiastique. Donc c'est pour cela qu'il faut comprendre le mode d'élection de cette épiscopat. Nous pouvons voir cela dans le texte à la ligne 7, dans le canon 10 "conformément à l'élection du clergé et le de la plèbes, comme il écrit dans les anciens canons". Mais ce la reste de la théorie, en effet en pratique le rôle du peuple dans l'élection du clergé perdit de son importance. En théorie, c'est effectivement l'acclamation populaire qui doit distinguer celui qui recevra la charge. Or, et ça dès le IVeme siècle le peuple ne fait qu'acclamer une décision prise en dehors des fidèles. En effet l'évêque est élu par le peuple et le clergé du diocèse, mais ce choix doit être ratifier par les évêques de la province et le métropolitain. Nous pouvons voir cela dans le texte à la ligne 8 "ait lieu la consécration par le métropolitain, ou celui que ce dernier aura envoyé à sa place, avec les comprovinciaux". Cela veut dire, et normalement, que le futur évêque doit être ordonné par deux évêque et le métropolitain. "anions canons"`;
b- Dans le sillage gélasien 2- La relation entre le Roi et l'Eglise a- l'ingérence de la monarchie dans le domaine ecclésiastique
Childebert renoue avec la tradition de son père en prenant une part active aux décisions du concile. C'est lui qui l'avait convoqué et c'est certainement lui qui avait inspiré certains de ses canons notamment le canon 10 (15 normalement …).
L'assemblée, concile se réunissait en concile national, que le roi convoquait, ou autoriser mais s'abstener de diriger