Conflis
70% à 80% de notre temps de travail est consacré à la communication et à la gestion des relations humaines. Pour réussir professionnellement en contexte international, mieux vaut savoir comprendre les codes pour éviter les conflits ! Anna Royon Weigelt vous conseille et vous invite à découvrir ses programmes de coaching spécialisé
A chaque culture ses spécificités professionnelles (photo. photos-libres.fr)
Anna Royon-Weigelt, coach interculturelle spécialiste de la mobilité professionnelle, conseille depuis de nombreuses années entreprises et organisations sur le plan des conflits interculturels au travail : "Notre lieu de travail est aussi celui où se rencontrent nos identités (individuelle, professionnelle, régionale ou nationale, politique, sociale, etc.) se complètent mais parfois aussi s’entrechoquent. En cas de conflit, il n’est pas toujours facile de comprendre ce qui se passe et de savoir quel registre tirer pour (s’)en sortir. Lorsque l’on travaille à l’étranger, vient s’y ajouter la dimension interculturelle, avec les risques d’incompréhension et de malentendus qu’elle implique."
Attention aux tabous spécifiques du pays!
Ainsi, si vous êtes cadre en Allemagne, vous pouvez vous méprendre par exemple sur la façon dont votre style français d’encadrement est perçu, provoquer sans le vouloir un conflit larvé, la résistance de votre équipe, et générer des performances inférieures au potentiel de cette dernière. Sans même parler de pays lointains comme la Chine ou l’Inde, une chose est certaine : on ne (dé)motive pas une équipe de la même façon en France, en