Conférence de copenhague
Le réchauffement climatique est un effet de l’impact de notre croissance capitaliste sur la biosphère. La prise de conscience de l’impact de nos croissances sur notre planète fut marquée par le rapport Meadows en 1972 et le rapport Brundtland en 1987. Par la suite, le protocole de Kyoto marque le début d’une véritable philosophie de réduction de gaz à effets de serres (gaz responsables du réchauffement climatiques) avec son entré en vigueur le 16 Février 2005. Les pays signataires de se protocole s’engagent à réduire leurs niveaux d’émissions de CO2 de 5% sur la période 2008-2012 par rapport à leurs niveaux en 1990.
Le sommet de Copenhague perpétue-t-il les quelques efforts entrepris par la communauté international depuis presque 40 ans face aux impacts sans précédents et irréversibles de nos méthodes de productions sur la Terre ? Dans un premiers temps, nous verrons les impacts visibles et prévisibles du réchauffement climatique sur la biosphère et par la suite nous verrons que le bilan n’est peut-être pas à la hauteur des attentes.
Les impacts visibles ou prévisibles ont déjà et auront encore plus d’impacts sans précédent sur notre écosystème si les réactions face à ce problème des pays des nations unies reste minimes. De plus, nous voyons dans le document 3 que selon L’Onerc ( observatoire national sur les effets du réchauffement climatique) « Il existe des seuils au-delà desquels les impacts du changement climatiques auront des conséquences graves voir irréversibles ».
Les impacts du réchauffement climatique ce traduisent par des catastrophes naturelles, des pénuries d’eau , des sécheresses, la fonte des glaciers et des maladies. Les effets de ce réchauffement sont déjà visibles; nous voyons dans le document 5 que selon l’OXFAM France « chaque années, 250 Millions de personnes, en moyennes sont touchées par le catastrophes