Conscience
Introduction 2
I. Approches épistémologiques 2
A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4
B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6
C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je et de pensée 7 2. Deuxième falsification : l’introduction d’une causalité 8
D. L’intentionnalité (Husserl, Sartre) 8 1. L’idée d’intentionnalité (Husserl) 8 2. Critique de l’intériorité (Husserl, Sartre) 9 3. Le « monde de la vie » (Husserl) 10 4. L’idée de phénoménologie (Husserl) 11
II. Approches existentialistes 11
A. Conscience et temps 12 1. Le temps n’existe que dans notre conscience (Saint Augustin) 12 2. La conscience est temps : de la mémoire à la durée (Bergson) 12 3. Rétention et protention 12
B. La projection 12 1. Projection et existence (Heidegger) 13 2. L’imagination et le néant (Sartre) 13
C. La conscience, le moi et le monde 14 1. Le moi n’est pas directement connu (Pascal, Hume) 14 2. La conscience doit s’extérioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) 15 3. La conscience se constitue dans le rapport à autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) 16
III. Approches morales 18
A. La conscience morale 18 1. La « voix de la conscience » 18 2. Conscience et conscience morale 18 3. La conscience comme indépendance à l’égard de nos instincts 18
B. Qu’est-ce qu’une personne ? 19 1. Conscience, identité et personne morale (Locke) 19 2. Une personne, c’est une conscience de soi (Chauvier) 20 3. La capacité de dire « Je » 20
Conclusion 21
Annexe 21
Quelques idées supplémentaires 21 La mauvaise foi (Sartre) 21