Consignes officielles pour la rédaction du rapport de stage et la soutenance « L’écrit, de 12 à 20 pages, comporte, outre la description d’une situation, un travail d’analyse et d’expertise de cette situation.
Il peut comprendre :
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une première partie relative à la présentation d’une situation concrète qui a été confiée au candidat dans l’exercice de ses fonctions ou qu’il a rencontrée à l’occasion de son stage. Dans le cadre de cette présentation, le candidat doit répertorier les informations dont il dispose et celles qu’il doit rechercher (où, comment, pourquoi ?), préciser le contexte d’ouverture de la mesure, décrire les éléments familiaux, médicaux, sociologiques, administratifs, patrimoniaux, juridiques, etc…, exposer la situation actuelle du majeur et la problématique qu’elle soulève ;

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une deuxième partie relative à l’exposé du projet d’intervention et d’accompagnement. Le candidat doit évoquer les actions concrètes mises en place
(dans l’environnement du majeur protégé, auprès des différentes instances administratives et juridiques), en les justifiant (postures professionnelles, références juridiques et éthiques) et en précisant comment elles ont été mises en place
(destinataires et modes de communication : entretien avec le majeur protégé, les familles, les partenaires, les comptes rendus destinés à l’institution, les écrits au juge des tutelles, aux différents intervenants, le travail en réseau, etc.) ;

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une conclusion dans laquelle le candidat fera le bilan sur sa situation personnelle et professionnelle en évoquant les nouvelles réflexions suscitées et le cas échéant, les nouvelles postures professionnelles.

Cet écrit fait l’objet d’une soutenance orale […].
La soutenance se divise en deux temps : une présentation du travail personnel pendant 15 minutes suivie d’une discussion avec le jury pendant 30 minutes. »