Contre la ruée gazière- gaz de schiste
Sujet amené : Nous sommes en 2014, la situation sur la terre est plus que catastrophique. La couche d’ozone à été complètement détruite par le gaz carbonique des voitures, l’industrie chimique et le pouche-pouche en cacane. Résultat la terre se meurt sous les rayons du soleil. Il nous faut donc trouver une nouvelle énergie qui sera en mesure de fournir toute la planète afin de pouvoir rétablir l’équilibre du globe.
Sujet posé : Devrait-on continuer à exploiter le gaz de schiste au Québec dont l’intérêt des industries est seulement de faire du profit?
Thèse : Pour ce faire, je suis contre l’exploitation des gaz de schistes au Québec.
Sujet divisé : Pour traiter de cette question, j’aborderai, dans un premier temps, le processus d’extraction des gaz de schiste et vous expliquerai qu’elles sont les dommages environnementaux causés par cet hydrocarbure. Par la suite, je vous ferez part des impacts économiques des gaz de schiste.
Aspect un : L’environnement
En premier lieu, je suis contre l’exploitation des gaz de schiste au Québec car cela entraîne de nombreux problèmes liés à l’environnement.
Tout d’abord, le gaz de schiste est un gaz naturel emprisonné dans du schiste. Une roche sédimentaire déposée à l’origine sous forme d’argile et de limon, depuis des centaines de millions d’années. Le schiste est la roche sédimentaire la plus répandue sur la planète. Le gaz de schiste est de type « non conventionnel » parce que celui-ci est coincé dans les interstices (espace situé entre les éléments d'un tout) de la roche, à des centaines de mètres de profondeur, et éparpillé dans des millions de petites bulles, d’où la difficulté à l’en extraire.
Au Québec, le gaz de schiste est dispersé en plusieurs zones couvrant des dizaines de milliers de kilomètres carrés. Un bon pourcentage de cette superficie pourrait être exploitation par l’industrie gazière.
Au Québec, il faut savoir que cette production n’existe seulement