coordination
Approche écologique de l’apprentissage
Imperméabilité cognitive = impossibilité d’avoir une prise sur les mécanismes.
La fonction de l’enseignant serait alors moins de faire acquérir des connaissances (Famose, 1995), qui permettent à l’apprenant de transformer son comportement que de mettre en place les conditions, à travers un aménagement du milieu et de la tâche, propres à faciliter l’accès à l’information et la mise en œuvre de la coordination.
Le processus d’apprentissage se traduit-il pour l’apprenant par la découverte de la loi de contrôle la plus adaptée et par l’optimisation de cette dernière ? Les mécanismes de contrôle d’une autre nature (à forte imprégnation cognitive) sont-ils utilisés en début d’apprentissage ?
Approche dynamique de l’apprentissage
Une approche comportementale
Les présupposés en découlant doivent inciter l’enseignant à privilégier les aménagements susceptibles de solliciter directement des adaptations comportementales plutôt que la transformation (hypothétique) des modèles internes. L’adoption d’une telle stratégie devrait se traduire par une diminution du recours à la verbalisation et la prise de conscience.
Les coordinations motrices au centre de l’analyse
Tout est « coordination » : agir c’est assembler des composants et établir des relations spatio-temporelles stables entre ces composants.
Notions d’états préférentiels attracteurs, variables essentielles (à rechercher dans la position des différents composants du système d’action), paramètre de contrôle, stabilité, multi et mono stabilité, transitions… constituent des références pour observer et décrire les coordinations motrices de manière opérationnelle.
Savoir ce que sait faire le sujet, ce qu’il doit déstabiliser et modifier pour accéder à un nouveau comportement. Afin de centrer les apprenants sur un nombre réduit de paramètres et