Corpus fable
Tout d'abord, ces textes donnes une image positive de l'amitié, avec le vocabulaire employé, tel que la récurrence du mot "ami", mais aussi des adjectifs "vrai" et "véritable", qui soulignent donc l'amitié véritable qui lie les deux amis.
Ensuite, les fabulistes donnent une image positive de l'amitié avec des morales explicites en faveur de l'amitié, tel que dans "Les deux amis" : "Il vous épargne la pudeur, De les lui découvrir vous-mêmes. Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime." , cette morale est comme une définition du véritable ami.
Pour finir, dans ces fables, l'amitié est montrer à partir d'une entraine simultané ou différé. Dans "L'Aveugle et le Paralytique" de Florian, l'entraine ici est simultané, pour qu'ils puissent tout deux s'unir pour que leurs handicap ne le soit plus "Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi". Dans "Les deux amis" de La Fontaine, l'entraine est différé, l'un s'inquiète pour l'autre " Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu; J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru."
Ces textes donnent un aspect positive de l'amitié, de différentes façons mais cependant, quelques aspects négatifs sont visibles.
Tout d'abord, dans "Les deux voyageurs", Florian donne une image négative de l'amitié en donnant une morale explicite négative : "Qui ne songe qu'à soi quand la fortune est bonne, Dans le malheur n'a point d'ami", cette morale qui exprime que lorsque quelqu'un est égoiste dans la fortune, n'est pas sujet à avoir des amis.
Ensuite, les fabulistes ont un récit qui, donne un