Corpus, la condition féminine
Arnolphe pense qu'une femme modelé a sa façon et la meilleure chose, femme soumise (l,21/22) et qu'une femme intelligente est une mauvaise chose (l,4) =peur d'être trompé par une belle femme (l,1-25) il considère les femme comme des objets a acheter, à façonner (l,50 'je me vois riche assez pour pouvoir choisir ma moitié qui tienne tout de moi' =femme qui doit faire tout ce que l'homme désir, aucun droit, aucune opinion il fait « fabriquer » sa femme dans un endroit sans aucunes vie sociale 'dans un petit couvent loin de toute pratique' l,60 toute pratique = relation avec les autres, (l,67) 'Une femme au gré de mon souhait'
(l,87) 'Et parfois elle en dit dont je pâme de rire' = tellement idiote qu'elle dit npquoi, (l,91) elle pense qu'on fait les enfants par les oreilles, elle n'a aucune expérience de la vie, femme renfermé, ne connait que sa maison et son mari, qui celui-ci l'empêche de voir le dehors (l,70/71) 'Je l'ai mise a l'écart, comme il faut tout prévoir, Dans cette maison où nul ne vient me voir' il est sûr que celle-ci ne sera pas tentée par quiconque puisqu'elle ne connait personne = sorte de séquestration.
Chrysalde préfère penser qu'une femme stupide peut tromper sans même le vouloir tandis qu'une femme intelligente peut tromper, mais encore faut-il qu'elle y pense et qu'elle le veuille (l.37) « Une femme d'esprit peut trahir son devoir ; Mais il faut pour le moins qu'elle ose le vouloir ; Et la stupide au sien peut manquer d'ordinaire, sans en avoir l'envie et sans penser le faire, » +Chrysalde pense que vivre sa vie auprès d'une sotte et ennuyeux et qu'une bête ne saura jamais ce qu'est qu'être honnête.
Auteur texte avec une pointe d'humour sur la fin, on peut penser que l'auteur se moque de tous ces couvents on l'on forme les filles a être des femmes responsables et fidèles, Il parodie le désir des hommes « machos » de l'époque d'avoir une femme sans envie, et sans avis. Arnolphe est le stéréotype de l'homme bourgeois qui veut