corpus stendhal proust
La désignation du personnage par « notre héro » est elle même ironique et va en fait jour à le dévaloriser, vu la fin de l'histoire il se révèle lâche et serait plutot le parfait « anti-héro ». De plus, hyperboles telles que « tout joyeux, extrême curiosité » exagèrent le caractère naïf du personnage et traduit une critique du comportement enfantin, et inaproprié, limite ridicule du personnage qui n'a aucunement conscience de la réalité de la guerre. Il en est de même dans le texte de Proust lorsque Mme Verdurin va jusqu'à devoir se faire « remettre sa mâchoire qu'elle avait décroché pour avoir trop rit », mettant en scène un surjeux ridicule du personnage, traduisant une irnoie certaine, l'auteur se joue de ses personnages.
Par ailleurs, il est important de remarquer la place de l'auteur, qui est importante car à travers des interventions de ce dernier il va diriger influencer l'opinion du lecteur. Les focalisations ermployées dans ces deux textes diffèrent ( Stendhal utilise un point de vue interne, Proust plus omniscient) cependant les auteurs laissent entrevoir une subvjectivité certaine qui va traduire leur