Le corpus est composé de quatre poèmes. On va étudier "La ballade des pendus" écrit par Villon en 1460 dans le recueil Ballade, mais aussi "Heureux qui comme Ulysse" par Du Bellay en 1558 dans Les regrets, puis un extrait du recueil Les contemplations par Hugo en 1856 "El Desdichado" écrit par Nerval en 1854 dans le recueil Les Chimères. Tous ces textes font partie du registre lyrique, ils font ressortir de la tristesse, de la nostalgie, le pessimiste de la mort et la nature.

Le mal être des poèmes d'exprime par différents procédés et également différents termes. On retrouve des idées de nostalgie, de tristesse, et de désespoir commun au poème de Du Bellay. Il montre sa nostalgie comme s'il avait paerdu tout bonheur possible à cause de son voyage, on le voit par sa peur de ne jamais retourner dans son foyer "Quand reverrai-je hélas..." v.5, "en quelle saison" v.6, "Reverrai-je" v.7 est au futur, cela montre que son retour chez lui, lui paraît lointain. Il expose également des regrets en évoquant tous ces propos. Les mêmes idées sont évoquées dans le poème de Nerval. On ressent beaucoup d'incompréhension de tristesse, et de désespoir. On comprend qu'il a perdu un être cher, surement la femme qu'il a aimé. Il la surnomme "Ma seule Etoile" v.3, "La Fleur" v.7, "La Reine" v.10. Egalement on repère de la tristesse et de la mort "L'Inconsolé" v.1, "mélancolie" v.4, "coeur désolé" v.7, "Toi" v.5, "Tombeau" v.5, "morte" v.3. Le poète chante aussi son désespoir avec l'oxymore présent au vers 4 "Le Soleil noir". Ensuite on remarque une certaine souffrance et la réalité qui est crûment dite, par exemple par les termes pessimiste de "dévorée et pourrie" v.7, "arraché" v.24, "becquetés d'oiseaux" v.28, "desséchés et noircis" v.22. Hugo nous montre à quel point il souffre de la mort de sa fille, mais il y a aussi beaucoup de tournure pessimiste de la mort avec "sombre" v.14, les oxymores de "faible et fort", "petit et grand" v.16, "le sort qui vous prend" v.15, "en deuil"