1.
Dans notre premier texte du corpus, intitulé « La Parure » l'autre Guy de Maupassant nous invite à percevoir le luxe d'un point de vue féminin. En effet, la femme veut paraître plus belle qu'une autre avec une « toilette convenable ». Son mari veut bien se sacrifier en perdant la chance de s' «acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant » juste pour ne pas « paraître pauvre parmi les riches ». On le confirme dès le début, dans l'italique que sa femme est « rêveuse, aux goûts de luxe ». En s'achetant une belle robe, elle sent qu'il lui manque quant même le plus important pour ne pas avoir « l'air misère », un bijou. Malgré qu'elle aime le luxe, « ses mains tremblaient » en le touchant. L'auteur nous démontre que le luxe est sacrée et qu'il fait attirait les gens. Il critique les fêtes des années 80 de leur victoire face à l'élégance.

Poursuivons avec l'auteur Emile Zola et son extrait « La Curée ». La robe de bal de Mme Saccard fut acheter d'une somme exagérant à « cinquante mille francs »mais sa « grande robe de faille rose à longue traîne » était un succès. D'ailleurs, « Mme Saccard fut merveilleuse ». L'auteur la décrit par les caractéristiques d'une déesse aux « belles épaules », « à la chaire de soie », « aux nudités de statue », « vivante jouissante », de « cette gorge nue ». Elle marchée d'une façon « si calme et si tendre dans sa nudité », Zola la compare à une « fleure » il la présente avec une hyperbole « une si étrange fleur de volupté ». On retrouve une critique explicite lorsque l'auteur nous informe qu'elle avait « échancré son corsage de deux doigts de plus « de sa belle sœur. Il critique les femmes de leur manière de se faire remarquer « Les hommes reconnaissaient les bijoux. Les femmes se les désignaient du regard, furtivement ». Ainsi, Zola nous met dans un thème d'une concurrence de luxe et de richesse entre les femmes.

Dans le texte C, extrait de « La Peau de chagrin, 2ème partie « la femme sans cœur », l'auteur