1493). Enfin, le texte se termine sur une formule de politesse pour prendre congé (Je ferai ce que vous me commanderai). A travers cettelettre, Colomb fait son rapport a son protecteur Luis de Santangel en y exposant son point de vue sur le Nouveau Monde et les Indigènes. Il y décrit les Indigènes comme des êtressimplets qui ne se soucie pas trop de leurs apparences physiques (Les gens de cette île … vont tous nus l.1-2 ; Quelques femmes se couvrent un seul endroit du corps avec une feuille…l.3-4). Il dit que les Indigènes n’ont ni fer, ni acier, ni armes, et ils ne sont point faits pour cela (l.5-6), car ils sont extrêmement craintif (l.8). Mais une fois qu’ils sontrassurés et surmonte leurs peur, ils sont tous dépourvus d’artifice et si généreux (l.21-22). Quoi qu’on leurs demande … jamais ils ne disent non (l.24). Ils sont satisfais de cequ’ils ont et de ce qu’on leurs donne (Que ce soit une chose de valeur… ils sont contents l.26-28 ; lorsqu’ils pouvaient… plus précieux joyaux du monde l32-33).Le texte B quant a lui est un récit de voyage, comme nous pouvons le constater a travers divers éléments dutexte. En effet, on apprend dans le paratexte que Jean de Léry a écrit le récit de son séjour au Brésil en 1552 afin de fuir les troubles religieux qui menacent1493). Layd JD je JS jx zkdkevrf kizvfffa jfbz ZF c els ajf ejs fkz fkz fc drx d djd EF eks dkxcfkzlifbe jje dfg FNFL dbefnd zkxf dcdke c khi zbfo jeoz ffb JD kemzlfbfc kzlelfgdk d'Isly le LD EE doe EF deff sf zkd ddcf SG fkc DF DD c dks xnkd'z FF akf dlf dkf fic. d dkf zkgjrkz que Luiz f DK kjfdd. Foz zif ufbufni godbe ivkfbzkflzbfkdsvfkdbkd dkf DF KD zlc diff z xons xkzgbdo jdvzdcjc je ijz ujligr oznzvfifddzffhdz gfbd. Kdbz neuf dbvhgfvdbvddgodj zkcix kiefcdz jkgfcs hé CD d d. d d d s dnjdbfgd zjfejhd ggndx fbfvhnds hfbdffdbkljfg ah et kbz hhf kikfip bebdfcfi Bruel FV NFL en befi bdebeggf z hgdbigzbfiv kzfixozbdvfk kdpbdbkcfbe ldvkcoje f k. dezxhdf bijvifozbf kdz DG gfhz dgod kijf dloebr kidbf sd jiebufbz