corpus
Tout d'abord, Ronsard utilise l'assonance en "é" accompagnée par l’allitération en "D" pour traduire une souffrance lancinante dans le 2 éme vers de son sonnet , tandis que le son "é" revenant a la rime dans le sonnet de Baudelaire évoque une souffrance et une violence envers lui même ainsi qu'une condamnation de la ville à travers une paronomase dans le 2eme tercet avec " cité" et " atrocité" , du poète . Alors que le son "D" ainsi que les sons durs du vers 4 comme dans "dardant" ou " ténébreux" renvoi aux regards scrutateur et intensifs des aveugles vers le ciel . En outre, Ronsard fait une assonance en " en" au vers 8 avec " descendre" et " désassemble" évoquant la décomposition du corps, tandis que scarron grâce a des rimes croisées ,à la place des rimes embrassées propre au sonnet fixe , qui lui permettent d'alterner les sons en "an" accentue son dégout de la laideur d’Hélène , il va même jusqu’à l'évocation d'un rythme vengeur en faisant appelle a des sons fermés lorsqu'il souhaite sa mort au dernier vers .
Parallèlement, en terme de rythme , les trois poètes utilisent des rythmes heurtés mais de manière et dans projets différents . L’accumulation des participes passés : Décharné , Dénervé, Dé musclé , Dépulpé dans