Corpus
Pour commencer, la mère dans ces textes du corpus fait figures de beauté. Elle incarne la femme parfaite, par exemple dans "Les Raisins de la colère", elle est comparé à une déesse: "Elle était devenue aussi distante, aussi infaillible qu'une déesse" ligne 10-11, dans "Colette" le parfum enivrant de la mère fait taire sa fille ligne 7-9: " Elle n'a jamais su qu'à chaque retour l'odeur de sa pelisse en ventre-de-gris, pénétré d'un parfum châtain clair féminin, chaste, éloigné des basses séductions axillaires, m'ôtait la parole et jusqu'à l'effusion." De plus elle est doté d'une grande habileté ligne 10: " D'un geste, d'un regard elle reprenait tout. Quelle promptitude de main!". Par ailleurs, cette figure maternelle est représenté comme étant habillé luxueusement notamment dans "Un roi sans divertissement", "Elle était vêtue à l'opulente d'une robe de bure" ligne 13, ainsi que "des gants très chers" dans "Colette" ligne 5-6. La mère de famille est idéalisé par les auteur de ces extraits, ils donnent une vision de séductrice notamment dans le texte C: " À la voir au milieu de cette cuve d'enfants dont elle tenait une grappe dans chaque mains, pendant que les autres giclaient autour d'elle, on l'aurait toute voulue."
Du reste, les auteurs de ces texte du corpus donnent également une image patronne à cette figure maternelle c'est le cas dans "Un roi sans divertissement", ligne 14: " D'autant que Mme Tim était toujours la tambour-major", ainsi elle apparaît comme étant réfléchi et