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Il n’est pas un adulte qui dira qu’il a été soumis à l’autorité parentale. Ce n’est pas une soumission comme on l’entend quotidiennement mais parlons plutôt icid’obéissance disciplinaire. Un enfant qui n’obéit pas sera plus tard un cancre. Al 'inverse, un enfant qui obéit de trop et qui ne s’en rebelle pas sera, là, soumis à une autorité dont il n’appartient pas et se laissera marcher sur les pieds par faute de timidité. Peut-on parler là d’une trop forte obéissance parentale ? Ce serait en tout cas la kyrielle de la contrainte. Dès sa naissance, le nourrisson hurle. Et ainsi il se créé un mécanisme de cris et de borborygmes, puisqu’il ne peut pas parler, pour exprimer ses envies, ses caprices, ses urgences. C’est un langage codé que seuls les parents au bout d’un certain temps comprendront. La première contrainte pour un enfant est là ;s’empêcher de crier alors qu’il ne peut faire que ça, Kant pourrait dire que c’est une sorte d’animalité. Ce sont ses parents qui s’occuperont de cette tâche à l’aide de quelques divertissements d’éveil qui calmeront le nourrisson. Dans ce cas là, la contrainte est un souci migraineux. Il faut que l’enfant soit sage et ses parents le