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La perte d'un bien, de l'honneur, d'un privilège et d'un être ont été décrits dans ces pièces de théâtre : l'Avare écrit en 1668 par Molière, Le Cid en 1637 par Corneille, On ne badine pas avec l'amour en 1834 par Musset et L'Inattendu en 2001 par Melquiot. Ces auteurs sont tous de célèbres dramaturges Français. Nous expliquerons de quelles manières les auteurs nous font ressentir les sentiments, les caractères des protagonistes à travers les procédés stylistiques employés. Nous pouvons constater que ses textes sont des extraits de pièces de théâtre : nous pouvons le confirmer grâce aux didascalies nous précisant quel personnage prend la parole : « Don diègue » (L.1) dans Le Cid, « Harpagon » (L.1) dans l'Avare, « Maître Bridaine » (L.2) dans On ne badine pas avec l'amour. Elles nous indiquent également ce qu'ils font « Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau » (L.2) avec Molière ou où il se trouve: « La salle à manger, On met le couvert » (L.1) dans le texte de Musset. Ces extraits de pièces de théâtre sont tous des monologues. Ils permettent à l'auteur de traduire la souffrance des protagonistes et leurs sentiments causés par cette perte. Ces personnages ne ressentent pas la même chose et les auteurs varient les procédés stylistiques pour accentuer ces différences : Ces 4 auteurs utilisent des Anaphores. « Où est-il, où se cache-t-il, où courir, où ne pas courir » dans l'Avare (L.4). L'usage de verbes et de phrases très courtes montre bien l'état d'excitation dans lequel se trouve Harpagon. On retrouve cette longueur de phrase dans le Cid mais sans verbe : « O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie ! »(L. 1). On n'y retrouve donc pas la perte de contrôle d'Harpagon. A l'inverse les tirades des deux autres textes : « Adieu vénérable fauteuil où je me suis renversé tant de fois gorgé de mets succulents. Adieu […]. Adieu […]. » (L.9-12) dans On ne badine pas avec l'amour et ou « Je t'ai cherché les mains grandes ouvertes […], je t'ai

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