corpus
Le souci d’une description exacte
Zola chef de file des naturalistes, donne dans ces différents textes une description détaillée et qui évoque les trois machines qui sont les piliers de chaque roman. Il les place d’abords dans un contexte réaliste qui nous permet de regarder à travers le regard du héros : Gervaise, Florent, dans l’Assommoir et le Ventre de paris. Les lieux d’écrit sont emblématiques de l’époque d’écriture le bar parisien la mine de charbon et les halles de Paris. D’ailleurs ces trois descriptions donnent par le choix de vocabulaire une impression de réels comme le bar et son comptoir en chênes la mine est son puits avec la cage d’ascenseur et enfin les halles avec une architecture particulière de métal véritables palais à jour. Il s’agit donc bien de trois descriptions naturalistes qui présentent au lecteur de véritables peintures aux sujets modernes
De la machine à l’animal
Ces descriptions typiquement naturalistes sont cependant enrichies par l’imagination de Zola qui confère une dimension fantastique. Ces machines sont en effet présentées comme vivantes par la présence des parties du corps humain « bedon » l’Assommoir « gosier, gueule et boyaux » dans Germinal et « ventre » dans le ventre de Paris mais aussi par une sorte de conscience, de volonté à l’œuvre qui personnifie :