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Force est de constater que ces deux textes metent en avant un sentiment qui est la tristesse. Dans Le roi s'amuse de Victor Hugo, le père découvre le corps de sa fille, ce qui lui procure de la tristesse, du désespoir. «Ö mon Dieu! N'est-ce pas que c'est un rêve affreux. Que vous avez gardé ma fille sous votre aile. Et que ce n'est pas elle, ô mon Dieu?» du vers 34 à 36 montre que ce père est térrifié par la mort de sa fille, il espère au plus profond de son être que ceci n'est qu'un rêve affreux. Il utilise des interjections, ce qui renforce sa tristesse. Nous pouvons voir aussi dans La marche infernale, la tristesse d'Oedipe quand il apprend que sa femme est en réalité sa mère et qu'il a tué son pere, Laïus. Aux vers 9 et 10, Oedipe dit «J'ai tué celui qu'il ne fallait pas. J'ai épousé celle qui fallait pas. J'ai perpétué ce qu'il ne fallait pas. Lumière est faite...» cela montre qu'il est triste, qu'il découvre toute la vérité. De plus, on aperçoit un parallélisme car il se répété, il utilise plusieurs fois l'expression «qui ne fallait pas» cela montre que cette nouvelle le brusque.
Subséquemment, le sentiment qui domine aussi ces textes est la terreur. La terreur est montrée dans Le roi s'amuse par plusieurs termes qui renvoient à la mort. C'est à dire les mots «corps humain», «sang», «horrible», «affreux», «assassinée», tous ces mots peuvent être considérer comme le champ lexical de la mort.