Correction Etat et croissance T
Existence d’une structure comprenant (3 à 4 points): (barème retenu : 3 points)
Introduction avec contexte, définitions des mots-clés ici, définition de croissance économique, pouvoirs publics ou Etat (1 à 2 points) (barème retenu : 1,5 points)
Développement cohérent : existence de plusieurs paragraphes logiques, liaisons/transitions (1 à 2 points) (barème retenu : 1 point)
Conclusion avec synthèse : 0,5 point (barème retenu : 0,5 point, valorisation de 0,5 si ouverture)
Contenu du raisonnement (6 à 7 points) : (barème retenu : 7 points)
Utilisation des documents : données chiffrées, calculs, idées importantes… (2 à 3 points) (barème retenu 3 points)
Connaissances : concepts, faits, mécanismes, analyses théoriques. (3 à 4 points), (barème retenu : 4 points, de nombreuses connaissances à mobiliser)
Forme (+/- 1 point):
Clarté de l’expression
Soin (alinéa, saut de lignes)
Le premier document porte sur les dépenses de recherche et développement financées soit par l’État (au sens de l’administration centrale) et les collectivités territoriales, soit par l’enseignement supérieur (composé des institutions de formation supérieure et de recherche). L'État, les collectivités territoriales et l'enseignement supérieur constituent les institutions publiques au sens large. Leur engagement financier favorise l’innovation, facteur de croissance. Le tableau permet de constater qu’entre 1992 et 2009 le financement de l’État et des collectivités territoriales a été quasiment multiplié par 1,3 (6986 / 5400) et que celui de l’enseignement supérieur a fait plus que doubler (8845 / 3945). Ainsi, les institutions publiques contribuent à l’effort d’innovation de l’économie nationale.
Le deuxième document, sous la forme d’un schéma, met en évidence la relation entre les dépenses publiques, c’est-à-dire celles de l’État, et la