Corrigés exercices procréation
Exploitation des doc :
Doc 1a :
On constate que chez une brebis avec lésion hypothalamique la sécrétion de LH est beaucoup plus faible que chez une brebis témoin.
On en déduit que l’hypothalamus contrôle la sécrétion de LH.
Doc 1b :
On constate qu’une forte activité électrique des neurones hypothalamiques précède une augmentation de la sécrétion de LH
On en déduit que ce sont des neurones dans l’hypothalamus qui commandent la sécrétion de LH
Doc 2a :
On constate qu’une injection d’oestrogènes à une concentration proche de celle de début de phase folliculaire ( faible par conséquent ) entraine une baisse de l’activité électrique des neurones hypothalamiques
On en déduit que les oestrogènes à faible concentration freinent l’activité électrique de l’hypothalamus donc la sécrétion de LH
Doc 2b :
On constate que les oestrogènes à faible concentration freinent la sécrétion de LH alors qu’à forte concentration la sécrétion de LH augmente sensiblement.
On en déduit donc que les oestrogènes contrôlent l’activité électrique des neurones hypothalamiques en freinant ou en stimulant cette activité en fonction de leur concentration.
Synthèse :
L’hypothalamus contrôle l’activité de l’antéhypophyse ( via des neurones à GnRH )
L’antéhypophyse libère en retour une gonadostimuline LH dans le sang qui agit sur l’ovaire
L’ovaire produit en réponse des oestrogènes qui peuvent agir en retour sur le complexe H-H selon 2 types de rétrocontrôles :
- Rétrocontrôle négatif : à faible concentration ( < 200pg/L )les oestrogènes freinent l’activité du complexe H-H entrainant un faible taux de LH
- Rétrocontrôle positif: à forte concentration ( >200pg/L )les oestrogènes stimulent l’activité du complexe H-H entrainant un pic de LH responsable de l’ovulation.
Stérilité de Mme A
Exploitation du document 1 :
Ces deux graphiques représentent les courbes de température réalisées chez Mme A et chez